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Bruno Helstroffer

Theorbo

FR: Guitariste classique puis électrique, autodidacte du théorbe et des musiques anciennes, soliste et accompagnateur, interprète et compositeur, Bruno Helstroffer est sollicité en qualité d’interprète par les orchestres baroques et par les formations de chambre les plus réputés. Avec ceux-ci il se produit dans le monde, en salle comme en radio, et réalise une trentaine d’enregistrements discographiques dont certains furent récompensés par la critique, sous la baguette de chefs comme Hervé Niquet, Leonardo Garcia Alarcon et l'orchestre philharmonique de Radio France, Vincent Dumestre, Alexis Kossenko, Raphaël Pichon, François Lazarevitch, Les Lunaisiens etc...

Détaché de l'orchestre, il accompagne en récital “baroque progressif” des chanteurs solistes tels que Phillipe Jaroussky, Dominique Visse, Chantal Santon, David DQ Lee, Guillemette Laurens au sein desquels la frontière entre musique ancienne et actuelle se fait poreuse.

En parallèle il s’engage dans la musique contemporaine (My Way to Hell et Songbook de Matteo Franceschini), dans le spectacle vivant et notamment dans le théâtre : « Rêves » (Nicolas Liautard/Wajdi Mouawad – 2003/Scène Watteau), “Les Saisons” (Irène Jacob, Marianne Piketty, Carl Norac – Ranelagh 2015), « Phèdres » (Krzysztof Warlikowski/Isabelle Huppert – Odéon 2016), et « Si l'Orage nous entend » (en duo Phillipe Jarrousky/Bruno Helstroffer – J.F.Spricigo/Le 104 Paris 2020).

Il travaille également pour la danse contemporaine ( Malgorzata Haduch, Mourad Merzouki), accompagne des chanteurs populaires et participe à des performances artistiques pluridisciplinaires (poètes, circassiens, marionnettes) en scène comme au cinéma ; dans « Le pont des arts » de Eugène Green (2004) et dans la série franco-canadienne « Versailles » sur canal + (2015).

Pour Love I Obey, il invite au sein de son propre ensemble la chanteuse folk Rosemary Standley (Moriarty) à élaborer un programme fantasmagorique à partir des ballades anglaises du 17eme siècle et des folksongs traditionnelles américaines. Disque Alpha-Outhere 2015 qui obtient comme récompense les 4f de Télérama.

Mêlant compositions, improvisations, et pièces de répertoire, son solo de théorbe a été apprécié en France dans les festivals de musiques anciennes (Concerts Parisiens, Bruges, Saintes, Trégor...) ainsi que sur la scène populaire (Trianon de Paris, café de la danse) et à l’étranger (Autriche, Pologne, Allemagne, Roumanie, Danemark...). Le programme sort en 2018 en CD et vinyle sur le label Outhere - Alpha sous le nom de « Calling the muse, old and new pieces for theorbo » et a obtenu la récompense ; 5 diapasons, par la revue éponyme.

La fusion des langages qu'il aborde devient une identité musicale originale qui le conduit régulièrement à se produire et à enregistrer avec des jazzmen (Michel Godard&Steve Swallow, David Chevallier, Jean-Louis Matinier, Jasser Haj Youssef, Joël Grare...) des compositeurs contemporains (M.Franceschini, T.Machuel, Y.Bessières...)ou des artistes pop (Sapho, Moriarty...).

A la frontière des styles musicaux, il marque ainsi sa volonté de marier habilement ses multiples expériences et propose une communication entre genres et artistes d’horizons différents.

EN: A classical and then electric guitarist, self-taught in theorbo and early music, soloist and accompanist, performer and composer, Bruno Helstroffer is sought after as a performer by the most renowned baroque orchestras and chamber ensembles. He has performed with them all over the world, both in concert halls and on the radio, and has made some thirty recordings, some of which have won awards from the critics, under the baton of conductors such as Hervé Niquet, Leonardo Garcia Alarcon and the Radio France Philharmonic Orchestra, Vincent Dumestre, Alexis Kossenko, Raphaël Pichon, François Lazarevitch, Les Lunaisiens, etc...

Detached from the orchestra, he accompanies solo singers such as Phillipe Jaroussky, Dominique Visse, Chantal Santon, David DQ Lee, Guillemette Laurens in "progressive baroque" recitals in which the border between ancient and contemporary music becomes porous.

At the same time, he is involved in contemporary music (My Way to Hell and Songbook by Matteo Franceschini), in live performance and especially in theatre: "Rêves" (Nicolas Liautard/Wajdi Mouawad - 2003/Scène Watteau), "Les Saisons" (Irène Jacob, Marianne Piketty, Carl Norac - Ranelagh 2015), "Phèdres" (Krzysztof Warlikowski/Isabelle Huppert - Odéon 2016), and "Si l'Orage nous entend" (as a duet Phillipe Jarrousky/Bruno Helstroffer - J. F.Spricigo/Le 104 Paris 2020).

He also works for contemporary dance (Malgorzata Haduch, Mourad Merzouki), accompanies popular singers and participates in multidisciplinary artistic performances (poets, circus artists, puppeteers) on stage and in the cinema; in "Le pont des arts" by Eugène Green (2004) and in the Franco-Canadian series "Versailles" on Canal + (2015).

For Love I Obey, he invited the folk singer Rosemary Standley (Moriarty) to create a phantasmagorical programme based on 17th century English ballads and traditional American folksongs. Alpha-Outhere 2015, which was awarded 4f by Télérama.

Mixing compositions, improvisations, and repertoire pieces, his theorbo solo has been appreciated in France in early music festivals (Concerts Parisiens, Bruges, Saintes, Trégor...) as well as on the popular scene (Trianon de Paris, café de la danse) and abroad (Austria, Poland, Germany, Romania, Denmark...). The programme was released in 2018 on CD and vinyl on the Outhere - Alpha label under the name "Calling the muse, old and new pieces for theorbo" and won the award; 5 diapasons, by the eponymous magazine.

The fusion of languages that he approaches becomes an original musical identity that regularly leads him to perform and record with jazzmen (Michel Godard&Steve Swallow, David Chevallier, Jean-Louis Matinier, Jasser Haj Youssef, Joël Grare...) contemporary composers (M.Franceschini, T.Machuel, Y.Bessières...) or pop artists (Sapho, Moriarty...).

At the border of musical styles, he thus marks his will to skilfully marry his multiple experiences and proposes a communication between genres and artists of different horizons.

Bruno Helstroffer
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